« Y’a quand même un p’tit air de Brel ! » Cette phrasequ’Arnaud Askoy a entendue depuis son adolescence nesuffit pas à promettre le « retour » de Jacques Brel sur scène.Brel est unique et inimitable. Cependant, ce sont bien dessceptiques, tels Pierre-Nicolas Cléré et Jacques Roques,producteurs et admirateurs inconditionnels du grand Jacques,ou encore le musicien et arrangeur Roland Romanelliavec Jean-Philippe Audin au violoncelle qui vont se laissersurprendre en croisant le chemin d’Arnaud. Constat simple etinattendu : ça « pique ».C’est la flamme personnelle d’Arnaud Askoy, cette chargeémotionnelle, qui doit venir vous bouleverser, faire naître unemagie comparable à celle de l’époque mais bien ancrée dansle présent, comme une toile impressionniste vivante. Telle estla promesse de toute l’équipe du spectacle : « Ceci n’est pasBrel ! » aurait dit Magritte, laissez-vous faire…
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